
Le produit a la particularité de casser la limite d’âge et de couvrir un large cercle familial jusqu’à 100 ans.
Le 5 août 2025, Chanas Assurances Vie a présenté au public de Douala et aux professionnels des médias un nouveau produit : « Chanas Suwele Max Pro ». L’innovation particulièrement orientée vers les personnes du troisième et du quatrième âge, est motivée par une vision claire. « Chez Chanas Assurances Vie, nous avons toujours eu la conviction que notre rôle dépasse la simple fourniture des contrats d’assurance. Notre métier c’est aussi d’anticiper ces moments de vie qui bouleversent, de proposer des réponses là où nos familles, nos communautés et chacun d’entre nous se retrouve souvent seul face à l’incertitude, la fragilité, au défi de préserver la dignité de nos patriarches et de nos matriarches », a indiqué le directeur général de la société d’assurance, Jeanne Nelly Bakang Yomba.
Le contrat « Assistance frais funéraires » tel que pensé par Chanas Assurances Vie, est la première solution innovante d’assurance funéraire conçue pour accompagner les familles camerounaises avec humanité, accessibilité et efficacité. Il compte accompagner financièrement et matériellement le souscripteur ou sa famille en cas de décès de celui-ci ou d’un membre de sa famille (conjoint, enfants, père, mère et beaux-parents), à travers le paiement d’un capital qui va couvrir les coûts associés à l’organisation des obsèques. Une solution qui vient ainsi alléger le fardeau financier en cette période d’épreuve. « Ce produit vient apporter cette réponse tant sollicitée par les assurés. Elle évite le rejet de certains patriarches et matriarches qui se voyaient exclus de l’assurance dès qu’ils atteignaient l’âge de 70 ans », soutient Jeanne Nelly Bakang Yomba. « Le taux de pénétration de l’assurance est extrêmement faible en Afrique et particulièrement au Cameroun. Nous nous devons de travailler à rendre l’assurance accessible. Pour qu’elle soit accessible, il faut qu’on propose des produits qui répondent aux besoins des clients », poursuit-elle.

Un produit calqué sur les besoins des familles modestes, des travailleurs indépendants ou retraités
Pensé pour soulager les proches lors des moments difficiles, le produit Suwele Pro Max combine un soutien financier en cas de décès et un accompagnement logistique optionnel (transport du corps, cercueil, corbillard, etc.) grâce à un réseau de partenaires agréés. L’assureur rassure que le produit a été développé au bénéfice des familles modestes, aux travailleurs indépendants ou retraités. Les entreprises ont aussi la possibilité de souscrire pour offrir une couverture sociale à leurs employés. Pour en bénéficier, il faut constituer un groupe de six proches qui sont soit les parents du souscripteur, ses beaux-parents et/ou ses enfants.
Selon le directeur commercial, marketing et transformation digitale de Chanas Assurances Vie, Edmond Junior Jemba, la couverture se fait suivant trois plans de couverture. Le plan 1 couvre toute la famille à 500 000 F chacun. Le plan 2 couvre la famille à un million de F et le plan 3 couvre la famille à deux millions de F. « Quand on a ce groupe de six, en fonction de l’âge maximal, on a une prime d’assurance qui est accessible. A titre d’exemple, pour un groupe dont l’âge maximal est de 72 ans, on paie une prime annuelle de 66 000 F pour six personnes », ajoute le directeur général.

La limite d’âge levée avec une possibilité de couverture jusqu’à 100 ans
L’innovation est également capable de couvrir un large cercle familial jusqu’à l’âge de 100 ans. Quant à sa particularité, Suwele Pro Max offre une couverture souple et inclusive, avec des options de versement flexibles (capital en espèces ou prestations en nature), une activation rapide de la garantie après trois mois de souscription et une procédure de souscription simple et 100% accessible.
Le projet est le fruit des mesures prises par Chanas Assurances Vie pour aller chercher hors du marché camerounais des couvertures qui permettent d’étendre l’âge. « Au Cameroun, on a des limites, mais ailleurs il n’y a pas nécessairement ces limites. Il a fallu se rapprocher d’experts en assurances venant d’autres marchés pour bénéficier de leur accompagnement et de leur expertise, pour nous permettre de lever cette limite. Aucune loi camerounaise ne limite l’âge. C’est plutôt les aspects techniques et d’accompagnement qui nous ont limité », défend Jeanne Nelly Bakang Yomba. La diaspora n’est pas marginalisée. Au sein de la société d’assurance, une application est en plein développement pour adresser les besoins des Camerounais de l’étranger, afin qu’ils puissent souscrire au produit au même titre que les nationaux.